- Création : 12 Aout 2022
Introduction
Dans ce dixième volet, je vous propose d’explorer les résultats obtenus à travers l’utilisation de différents types de microphones.
Dans la captation des sons de guitare électrique, le microphone est le maillon réalisant l’essentiel du travail : sa signature sonore va très fortement modeler le son obtenu au final. Cet article de blog est plus particulièrement destiné aux débutants et autres novices dans l’enregistrement des guitares -plutôt high-gain- et à la mise en oeuvre de réponses impulsionnelles : sa lecture n’est absolument PAS indispensable pour tirer parti des IRs -faites plutôt confiance à vos oreilles- mais il pourra peut-être vous donner quelques points de repères pour l’exploration de vos collections et le choix de vos IRs pour certains types de sons ou certains contextes.
Les types de microphones
Les trois principaux types de microphones utilisés sont les suivants :
- les microphones dynamiques
- les microphones à condensateur
- les microphones à ruban
Les microphones dynamiques sont parmi les plus répandus : ils sont les moins chers et les moins fragiles. Ils fonctionnent sur le même principe qu’un haut-parleur mais en mode inverse : la pression sonore va faire vibrer une membrane, vibration transmise à un aimant qui va la transformer en courant. Ils sont aussi moins sensibles que les microphones à condensateur : ils se révèlent donc bien adaptés à des sources sonores fortes et supportent sans problème les enregistrements de proximité. Ils sont très souvent utilisés pour enregistrer les guitares électriques, saturées ou non, en studio comme sur scene.
Les microphones à condensateur se sont également très largement démocratisés : originellement plus chers que les dynamiques, on trouve aujourd’hui des condensateurs dans toutes les gammes de prix. Plus fragiles, ils sont généralement plutôt utilisés en studio. Les condensateurs sont beaucoup plus sensibles et produisent généralement un son plus détaillé, plus précis -ou moins coloré si vous préférez- que leurs homologues dynamiques. Le son est capté par un couple membrane – électrode qui forment un … condensateur. Le courant faible produit doit ensuite être amplifié pour fournir un signal dans les plages de voltage des équipement audio : cela est réalisé par l’électronique présente dans le micro, qui fonctionnera via l’alimentation fantôme 48V.
Les micros à ruban ont été développés à partir des années 1930. Ils sont les plus fragiles des trois et délivrent en général un signal de sortie d’un niveau plus faible que les dynamiques ou les condensateurs : de ce fait on aura souvent besoin d’un préamplificateur doté d’une assez forte réserve de gain (à l’exception des microphones à ruban embarquant un préamplificateur actif). Très fragiles (choc, vent et autres fausses manipulations), ils sont généralement utilisés en studio
Un ruban en aluminium est tendu entre deux aimants : les vibrations du ruban engendrent la production du signal de sortie. Ils produisent un son très chaud, caractérisé par une très forte présence du registre grave et bas-médiums, et des aigus très en retrait. Des versions plus modernes de micros à ruban sont capables de capter les sons de manière un peu plus équilibrée.
Types d’applications
Certains types et modèles de micros sont utilisés par les ingénieurs du son dans certains contextes : ils vont produire un rendu recherché, et accentuer ou diminuer tel ou tel aspect du son. En fonction du type de captation (voix masculine ou voix féminine, chant classique ou rap, instrument à vent, à corde, cuivres, enceinte guitare, batterie ou percussions, piano, prise de proximité ou prise d’ensemble ou d’ambiance….) et du genre musical (blues, folk, classique, rock, metal ….), certains micros se montreront plus adaptés que d’autres. Au fil du temps, certains micros se sont imposés comme des standards pour telle ou telle application ou tel ou tel contexte (scène, studio, télévision, …) : par exemple le Neumann U87 considéré comme la Rolls des micros pour l’enregistrement des voix et d’autres types de sources sonores, le Shure SM58 pour les voix sur scène, ou le Shure SM57 pour les instruments et amplis sur scène…
La signature sonore des micros
Les caractéristiques essentielles des microphones peuvent se résumer à trois éléments : leur directivité, leur sensibilité et leur réponse en fréquence.
La directivité correspond à la manière dont le microphone capte les sons provenant de différentes directions : avant du micro, arrière du microphone, cotés…
La sensibilité des microphones est plus ou moins élevée et les rends plus ou moins adaptés à certains niveaux de volume sonore, et donc à certains usages. Certains micros disposent de pad : cela permet généralement d’abaisser la sensibilité et d’éviter de saturer le micro dans certaines conditions d’enregistrement.
La conception et la construction du microphone sont aussi des éléments importants : la capsule, l’aimant ou le type et la finesse du ruban dans le cas des microphones à ruban, leur placement dans le corps du micro, la forme du micro, la grille, la présence d’une mousse d’absorption de bruits ou non vont contribuer à lui donner son rendu en fréquence et son comportement.
Et au final, le son obtenu est très directement lié à cette réponse en fréquence et à la manière dont le microphone est mis en oeuvre, essentiellement le placement et la distance de la source sonore.
La réponse en fréquence est l’élément d’information principal fournit par les fabricants de micro pour indiquer leur comportement.
Exemple ci-dessous avec le fameux SM57 :
On y trouve plusieurs éléments intéressants : un sérieux roll-off des basses qui démarre un peu un dessous de 200 Hz, un petit décrochage dans les bas-mediums et une accentuation franche des aigus sur la plage de 4 à 12 KHz : c’est un micro assez brillant à la base ! Mais le diagramme ne nous dit pas comment le micro va réagir dans le domaine des basses, notamment avec l’effet de proximité dans le cadre d’enregistrements où le SM57 est positionné très proche de la source.
Note: les diagrammes de réponse en fréquence présentés dans cet article proviennent de http://recordinghacks.com, un site très intéressant sur les caractéristiques et les essais de microphones.
L’effet de proximité
Cet effet décrit le comportement d’accentuation des basses au fur et à mesure que le micro est rapproché de la source. Tous les micros ne sont pas équivalents dans ce domaine et ils ne réagissent pas tous de la même manière : certains micros sont par construction pas ou peu sensibles à l’effet de proximité, d’autres amplifient les basses de manière très élevée (les rubans en l’occurrence) et d’autres encore sont le fruit d’une conception destinée à limiter cet effet (le EV RE-20 par exemple). Pour l’enregistrement des enceintes de guitares -et donc par extension de l’enregistrement d’IRs- on va pouvoir jouer avec l’effet de proximité et positionner le micro de manière très proche de l’enceinte : collé contre la grille ou le tissu, à 1cm, 2cm, 5 cm, … etc. L’utilisation de microphones à directivité cardioïde comme le SM57 placé très proche de la source va également permettre de limiter les bruits parasites ou d’autres instruments dans un contexte live.
Microphones et mise en oeuvre
Certains micros sont conçus et optimisés pour enregistrer certains type de sources sonores, pour certains usages spécifiques: ils vont généralement donner de bons ou de très bons résultats pour ces usages. Certains microphones sont donc spécialisés pour les amplis/enceintes de guitare, le chant, la caisse claire, le piano, les toms d’une batterie, la grosse caisse d’une batterie, ….D’autres au contraire se veulent extrêmement neutres et transparents, et l’on peut envisager de très nombreuses applications….
Pour ce faire, leur conception amène des courbes spécifiques de réponses en fréquence, afin de mettre en relief certains aspects du son …. ou au contraire les colorer le moins possible.
Deux exemples :
- Le Neumann U87 -et sa variante Ai- sont des références de clarté et de précision, utilisés pour le chant, la voix, le piano, les orchestres et différents types d’autres instruments… La réponse en fréquence d’un U87 ressemble à ceci :
ll est à la base très plat, très neutre, avec simplement une très légère accentuation des aigus entre 8 et 12 KHz environ, qui va donner un peu d’air et de clarté à l’enregistrement.
- Deuxième exemple : le AKG D112. Il s’agit d’un micro destiné aux kicks de batterie ou à l’enregistrement de basses. Les pointillés sur le schéma indiquent le boost de basses du à l’effet de proximité.
Ce micro -comme d’autres du même type- va s’attacher mettre en relief deux plages de fréquences : d’abord il va descendre beaucoup plus bas qu’un dynamique normal pour capturer le son de base du kick (de 50 Hz à 80 / 90 Hz) ou le son d’une basse. Puis il va accentuer les aigus sur deux plages pour équilibrer un peu la prise et redonner un peu de place aux aigus : le boost principal sur la plage 2,5 KHz – 5 KHz et une bosse de présence aux alentours de 11 – 12 KHz. On évite ainsi de ne capter qu’un son mat et sourd et cela permet de positionner le son plus facilement au sein d’un mix.
Qu’ils soient labellisés chant, ampli, basse ou batterie, rien n’empêche l’utilisation de tels microphones pour capturer des sons de guitares, saturés ou non. Les résultats peuvent parfois se révéler très intéressants.
Les dynamiques
Les micros dynamiques sont capables d’encaisser de fortes pressions sonores et sont pour l’essentiel des micros de types cardioïdes, capables de rejeter le sons provenant du coté ou de l’arrière du micro : ils sont particulièrement adaptés à l’enregistrement d’enceintes de guitare et donc par la même occasion à la création de réponses impulsionnelles.
A chaque microphone sa courbe de réponse et sa sensibilité à l’effet de proximité : cela donne de très nombreuses variations dans le rendu. Ces variations seront souvent exacerbées dans le cas de la guitare saturée : la distorsion va amplifier le niveau de résonance dans les basses et de certaines autres plages de fréquences produites par l’enceinte et le haut-parleur (la distorsion des amplis guitare, en particulier, va engendrer des différences de sonorités assez spectaculaires, comparé à l’utilisation de sons clairs).
En prise de son d’enceinte guitare, le positionnement et la distance du microphone jouent un rôle primordial : ils déterminent les niveaux de basse et la clarté de l’enregistrement. En son saturé, pour le metal, on va généralement aller chercher des positions très proches de l’enceinte pour augmenter le niveau de basses, et des positions comme le cap-edge -à la jointure du cône central et de la membrane du haut parleur- pour des positions qui donnent un ‘bon’ équilibre, ou des positions plus éloignés du centre pour le placement dans un mix et réduire le coté très brillant des positions centrales.
Pour les baffles de guitares capturés par les micros dynamiques, on obtient généralement des sons assez agressifs, avec une bonne attaque et une bonne séparation des notes, une bonne clarté dans les accords. Ils peuvent également produire des sons plus ou moins creusés dans les mediums : le niveau de basse obtenu par le positionnement proche conjugué aux boost d’aigus -qui sont assez communs sur les micro dynamiques- peuvent produire assez naturellement ce type résultat mais cela dépendra aussi du haut-parleur et de l’enceinte. Avec certains modèles de microphones dynamiques, vous pourrez obtenir des sons très franchement creusés : les micros kick ou basse peuvent produire assez facilement ce type de rendu, comme le D112 présenté plus haut dans cet article.
Certains micros se sont taillés la place de véritables standards de l’industrie et sont devenus des incontournables, des références auxquelles ont va comparer les autres micros, notamment parce que leurs sonorités sont d’une part très appréciées et d’autre part parce qu’elles sont aussi connues de très nombreux utilisateurs. Parmi ces micros dynamiques de référence pour les enregistrement de baffles de guitares, on peut citer :
- le Shure SM57 -s’il n’est pas le micro le plus utilisé sur la planète, il ne doit pas en être loin-
- Le Sennheiser MD421, avec une plage de fréquence plus large que le SM57 et une mise en oeuvre un peu plus délicate
- Les Sennheiser e609/e906, qui constituent de solides alternatives au SM57
Vous pouvez retrouver le graphe du SM57 un peu plus haut dans l’article.
Comparaison SM57 et E906 :
On voit sur ce schéma deux courbes relativement proches mais les rendus seront assez différents : le 906 « booste » les aigus plus bas que le SM57, et cela produit un son légèrement moins agressif et aussi moins « ouvert » que le SM57. A l’arrivée, on obtient des sons un peu plus « boxy », un peu moins creusés qu’avec le SM57 (on parle ici essentiellement de sons avec de la distorsion).
Comme mentionné un peu plus tôt dans cet article, certains microphones sont conçus pour certaines applications : alors qu’une majorité de micros dynamiques ont une réponse dans le grave plutôt limitée (roll-off en dessous de 100-150 Hz), certains d’entre eux sont au contraire conçus pour permettre une captation plus étendue dans le registre du grave.
Le SM7B par exemple, est dérivé du même ancêtre que le SM57, mais avec l’optique de reproduire le registre grave de manière plus complète… (certains l’ont baptisé « le SM57 sous stéroïdes »). Le SM7B est souvent utilisé en broadcast, pour des rendus de voix chaleureux, mais il peut aussi l’être sur des baffles de guitare….
On constate sur ce graphe de fortes similarités avec le SM57 dans l’aspect général de la courbe, mais par défaut, la réponse en grave du SM7B est beaucoup plus importante et étendue et il est également moins exubérant dans les aigus, ce qui donnera un rendu plus sombre. Les pointillés représentent deux réglages disponibles sur ce micro : un boost d’aigu et un roll-off -ou atténuation- des graves.
Les condensateurs
Les condensateurs peuvent aussi produire d’excellents résultats sur les enceintes de guitare : ils se montrent généralement plus détaillés et plus précis que les dynamiques. Deux sous-familles de micro à condensateurs existent : les micro à large diaphragme et les micros à petit diaphragme. Les micros à large diaphragme proposent souvent une meilleure restitution de la partie basse fréquences que les dynamiques.
L’une des référence en matière de condensateur pour la guitare électrique est l’AKG C414 :
Et le voici ci-dessous comparé au SM57 : on peut constater que les courbes sont assez similaires pour la partie aigus, mais tout le bas du spectre (jusqu’à 1 KHz) est restitué à un niveau plus élevé et et plus étendu sur le C414, sauf à activer l’un des niveaux de coupe-bas disponibles sur le micro (40, 80, 160 Hz). Sa courbe de boost d’aigus est également plus lisse et plus progressive que celle du SM57.
Au final, le son produit par les condensateurs pour la captation de sons high-gain est très intéressant : plus précis que les dynamiques, avec un bas du spectre assez différent, plus complet et avec une sensation de medium creusé qui disparait au profit d’un son plus plat ou plein. En contrepartie, ils peuvent aussi donner une sensation de son un peu plus boxy/honky, et un peu moins ouvert. En résumé, un son plus précis, un peu moins coloré, qui pourra souvent sonner moins agressif qu’un dynamique, même si cela dépend aussi beaucoup du positionnement que l’on aura retenu. Attention, il s’agit d’indications générales et il existe beaucoup de condensateurs différents sur le marché : certains pourront se révéler moins adaptés à la captation des distorsions d’amplis guitare, avec un rendu beaucoup trop brillant ou avec une section basse trop en retrait. Mais notons que c’est également vrai pour certains dynamiques.
Les rubans
Le rendu des rubans est très différent de celui des dynamiques et des condensateurs : un ruban classique produit un son très sombre avec des aigus en retrait -la captation des aigus chute souvent après 7, 8, 10 ou 15 KHz- et une section basse très prononcée. Ils descendent généralement plus bas que la majorité des microphones dynamiques conventionnels. Leur son est généralement chargé en basses et les aigus sont restitués de façon assez « feutrée » : on décrit souvent le son des rubans comme un son « chaud ». Les rubans classiques se montrent très sensibles à l’effet de proximité avec un niveau de basses captées très important : on est amené à soit les éloigner, soit à corriger la prise avec un coupe-bas pour obtenir un certain équilibre. Òn peut aussi obtenir de bons rendus avec un positionnement plus éloigné de l’enceinte, qui va permettre d’obtenir plus d’équilibre entre les basses, les médiums et les aigus.
Ils sont tout à fait exploitables pour les sons d’amplis high-gain : ils vont très fortement diminuer le niveau d’agressivité dans les aigus et donner une touche plus douce au son. Le niveau de basses étant généralement élevé, on obtient un son avec une bonne coloration mais une attaque qui est adoucie, avec moins de clarté et de précision. Utilisés en position centrale sur les hauts-parleurs et en proximité, ils peuvent délivrer des sons creusés en médium.
Les rubans supportent généralement très bien les corrections d’égalisation, soit pour diminuer le niveau de basses, soit pour augmenter le niveau d’aigus et obtenir plus de relief.
Les rubans les plus modernes peuvent offrir un son un peu plus équilibré, avec des aigus plus présents et une sensibilité un peu moins forte à l’effet de proximité.
Parmi les rubans qui font référence sur les enceintes de guitare, on peut citer :
- Le Royer R121
- Le Beyer Dynamic M160
La réponse en fréquence du M160 :
Et la comparaison au SM57 :
Que choisir ?
Pour résumer le propos, je vous propose le petit schéma suivant :
Et pour résumer :
- Condensateur : son plein, détaillé, relativement « froid »
- Dynamique : coloré, agressif
- Ruban : « chaud », aigus en retrait
Notez que les flèches se recouvrent car pour certains modèles de micros et de situations d’enregistrement (position, distance) les sonorités obtenues peuvent être assez proches. En d’autres termes, les caractéristiques sonores des différents types de micros décrites ici peuvent être plus ou moins marquées ou plus ou moins flagrantes en fonction des modèles particuliers des micros/enceintes/hauts-parleurs utilisés et de leur mise en oeuvre.
Pour illustrer les différences de sons obtenus, voici le même riff d’intro de Holy Diver de Killswitch Engage, en drop C. Basé sur le Thrasher 01 preset pour GE300 (modifié pour cet exemple), routé vers Nadir avec des IRs de la collection Calif R112. La liste comprend 2 exemples de condensateurs, 2 rubans, et 4 micros dynamiques.
Vous pouvez télécharger les presets GE300 ici et la collection d’IR Calif R112 ici.
Alors, quels micros pour quels usages ? Très vaste question…. 🙂 : laissez-vous guider par vos oreilles, votre matériel – amplis, pédales, …- vos préférences, votre contexte, le style, l’ambiance sonore recherchée…et expérimentez ! Vous pouvez vous servir des points de repères présentés ici pour identifier et affiner certaines caractéristiques des sons que vous obtenez. Le rendu, en passant d’un micro à un autre, peut être radicalement différent (lorsque vous changez d’IR par exemple) : ajustez votre gain, vos contrôles de tonalité, et vos contrôles de résonance et de présence -si vous en avez- pour en tirer le meilleur parti. Le contexte jouera un rôle essentiel : au sein d’un mix, la tonalité de l’ensemble vous fera opter pour tel ou tel type de son pour placer vos guitares et obtenir le rendu qui vous semblera le meilleur ou le plus adapté.
Et si votre logiciel ou matériel le permet, n’hésitez pas à mixer des IRs en apprenant à reconnaitre les caractéristiques qui vous intéressent pour modeler votre son : vous pouvez consulter le post ‘IR Partie 9 : Mixer les IRs’ pour plus d’informations à ce sujet.
Pour plus de démonstrations et de comparaison sur le rendu des microphones, Youtube héberge de très nombreuses videos en la matière : cherchez « guitar cab microphone shootout » ou « guitar high-gain microphone shootout ».
Change log
- Création : 12 Aout 2022
- Ajout des exemples : 13 Aout 2022
Poursuivre la lecture
- Réponses impulsionnelles : partie 1
- Réponses impulsionnelles : partie 2
- Réponses impulsionnelles : partie 3
- Réponses impulsionnelles : partie 4
- Réponses impulsionnelles : partie 5
- Réponses impulsionnelles : partie 6
- Chargeurs d’IRs logiciel (réponses impulsionnelles partie 7)
- Réponses impulsionnelles partie 8 : l’égalisation
- Réponses impulsionnelles partie 9 : mixer les IRs
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