Neural Amp Modeler est une solution capable de nous fournir des sons avec un très haut niveau de fidélité par rapport aux matériels capturés : les modèles reproduisent la réponse en fréquence du système ainsi que son comportement en saturation, en compression,…  Et le paramètre essentiel pour la mise en oeuvre d’un modèle NAM est le niveau de gain avec lequel vous entrez dans le modèle : avec le niveau de gain approprié, le modèle va réagir de manière fidèle à l’original et va reproduire précisément le comportement du matériel pour une intensité donnée du signal d’entrée…. NAM étant très précis, il peut vous offrir une expérience du type : « comment sonne ma guitare avec un Revv 120 canal Purple, comment sonne-t-elle dans un Vox de 1992 ou encore dans un vrai Dual Rectifier ? ». Pour ce faire, il faut passer par une petite étape qui consiste à s’assurer que l’on rentre dans le modèle avec le niveau de gain attendu : cette troisième partie est donc consacrée au gain staging -ou étagement de gain- , pratique qui consiste à s’assurer que l’on utilise les réglages optimaux au niveau de son interface audio et du plugin chargeant le modèle NAM et ce afin d’obtenir le rendu  le plus fidèle, en utilisant le niveau de gain attendu par le modèle. Note / disclaimer : on peut tout à fait régler sa chaine de signal à l’oreille et ne pas tenir compte des informations de cet article, mais si vous souhaitez avoir un point de départ réaliste, ou que vous trouvez que le son que vous obtenez n’est pas satisfaisant -par exemple pas assez ou trop de gain-  ou encore si vous êtes simplement curieuse/curieux du son « réel » que l’on obtient avec tel ou tel matériel, alors les petites étapes ci-dessous vous permettront d’étalonner votre chaine de signal NAM. En bonus et pour faire des tests sur cet aspect sur votre propre matériel, vous trouverez un lien de téléchargement pour un petit pack companion de modèles NAM.

« 0 dB input gain » ?

Vous avez peut-être suivi le débat « 0 dB input gain » sur YouTube et vous avez notamment peut-être visionné cette vidéo de Ghost Note Audio intitulée : « Ampsims and input gain – Please, stop the madness… ».  La vidéo est très intéressante et … 100% correcte.… En résumé, l’auteur y dénonce la pratique du 0 dB input gain -préconisée par certains Youtubers voire par certains éditeurs de plugins- comme étant une mauvaise pratique et présente les étapes du gain staging pour les simulateurs d’amplis de guitares utilisés en standalone ou en plugins sur PC ou MAC. 

En effet, comme il n’existe pas de standard dans le monde numérique pour définir le niveau d’entrée des plugins -et notamment pour les plugins de simulations d’amplificateurs de guitare- , ceux-ci peuvent varier et il faudra se tourner vers l’éditeur du plugin et vérifier si ce niveau d’entrée est spécifié dans la documentation ou a défaut tenter de poser la question au support / SAV. En gros, on cherche à savoir pour quelle valeur d’entrée le plugin est étalonné. Connaitre ce niveau d’entrée permet à l’utilisateur d’ajuster son gain de manière à rentrer dans le plugin avec le niveau prévu par les développeurs et ce afin de le faire sonner comme il est conçu pour sonner… Ce niveau peut être exprimé en dBu (qui correspondent à un voltage) et pas nécessairement en dBFS, l’unité de travail dans le monde numérique (où 0 dBFS est la valeur la plus élevée d’un sample).

De l’autre coté, et pour compliquer un peu la donne, les entrées Hi-Z des interfaces audio présentent des sensibilités et des niveaux de gain utilisables qui peuvent varier très significativement d’un constructeur à l’autre, voir d’un modèle à un autre. Cette information est  la plupart du temps fournie par le constructeur de l’interface audio sous la dénomination « Maximum input level » ou « Maximum Input Level at minimum gain » . Pour une Apollo 8x, cette valeur s’établit à +12,2 dBu, pour une interface SSL2+ c’est +15 dBu, pour une Scarlett 2i2 3rd Gen on est +12,5 dBu, pour certaines interfaces RME ce niveau est switchable entre différentes valeurs.…

Maximum Input Level, Apollo 8X specs

Cette valeur représente le « headroom » disponible coté analogique : lorsqu’on atteint cette valeur (en ajoutant ou non du gain avec le potentiomètre de gain), on atteint 0 dBFS coté numérique, soit la valeur maximale et on provoque le clipping. La conséquence est que pour un signal analogique d’entrée donné et avec un gain positionné à 0, une interface +19 dBU va produire des valeurs plus basses qu’une interface +12 dBu ou +10 dBu. Pour autant, ca n’est pas véritablement un problème puisque le réglage de gain est justement là pour vous permettre d’amener votre signal d’entrée à un niveau « correct » (on utilise volontairement ce terme à ce stade). Mais en faisant cela à l’aveugle et sans référence, on ne maitrise pas le niveau du signal pour l’amener dans la plage attendue par un plugin.

L’’image ci-dessous présente un Seymour Duncan SH-4 enregistré sur une interface TwinX (+12.2 dBu) sur la track du haut et le même signal d’entrée sur une SSL2+ (+15 dBu) sur la track du bas, avec un gain à 0 pour les deux interfaces.… Pour un meilleur affichage les deux pistes sont amplifiées de 6 dB dans la STAN: 

On constate que le volume du signal capturé sur la TwinX est plus élevé que sur la SSL2+ : ainsi, pour un niveau de gain restant positionné à 0 sur chacune des interfaces, les deux interfaces vont produire un volume différent coté digital pour un même niveau de signal d’entrée. Une interface +19  ou  +21 dBu sera donc « froide », et inversement une +10 dBu sera « chaude ». Et cela signifie aussi qu’avec cette pratique, et en restant avec l’input gain à 0, un possesseur de TwinX va rentrer dans un plugin ou dans un modèle NAM avec plus de gain qu’un possesseur de SSL2+, mais dans les deux cas, il est probable que cela ne soit pas exactement le niveau attendu par le plugin ou, dans notre cas, le niveau attendu par le modèle NAM.

Par ailleurs, enregistrer des pistes d’instruments avec le gain restant positionné à 0 est déconseillé, car on n’obtiendra pas dans ce cas le meilleur rapport signal sur bruit. Il est -au contraire- conseillé d’augmenter le gain pour amener son signal dans une zone -disons- entre -9 et -6 voire -3 dBFS*, en évitant le clipping.

Note(*) : on peut trouver différents points de vue sur ce sujet : certains préconiseront de garder un peu de marge, d’autres conseillerons de se positionner au maximum sans clipping…. : l’idée étant d’augmenter le niveau du signal pour faire travailler au mieux les convertisseurs analogiques/numériques et d’optimiser le rapport signal sur bruit… Les pratiques et préconisations en la matière peuvent donc varier un peu d’un contexte à un autre…

Pour entrer au niveau attendu dans une simulation d’ampli, on va utiliser le gain staging en : 

  • étalonnant le niveau d’entrée du plugin avec la specification de l’éditeur de plugin et le maximum input gain de la carte son
  • Puis –en partant du gain à 0-,  on va augmenter le gain d’entrée sur l’interface audio pour amener le signal dans une plage optimale et abaisser d’autant le niveau d’entrée dans le plugin coté numérique, pour maintenir l’unité de gain.

Vous trouverez un lien vers une feuille de tableur dans la video de Ghost Note Audio qui contient des spécifications de plugins et les maximum input value de nombreuses cartes son : vous y trouverez par exemple la valeur d’étalonnage utilisé par les développeurs de Neural DSP pour les plugins (qui s’établit à 12,2 dBu)

Et pour NAM, ce n’est pas le plugin qui spécifie le niveau d’entrée attendu, mais chaque modèle.

Gain staging avec NAM

Avec NAM, le modèle est calculé à partir d’un fichier input ré-ampé. Et ce modèle reproduit le comportement en gain du système cible, dans une certaine plage et jusqu’à un certain niveau (nous reparlerons de ces aspects dans un futur article de la série)… Le niveau utilisé pour le ré-amping définit la plage de gain du modèle : en utilisant cette information pour étalonner son système NAM, on permet au modèle de délivrer des résultats très proches du système analogique, c’est à dire qu’en utilisant le même matériel en entrée -i.e. sa guitare-, le résultat produit par NAM devient extrêmement proche de la mise en oeuvre avec le matériel réel (ampli, pédale…). 

Pour obtenir ce niveau de réalisme, on va étalonner son système à travers deux grandes étapes : 

  • En utilisant la valeur d’étalonnage (« calibration » en Anglais) fournie par le créateur du modèle ET la spécification Maximum Input Level de sa carte son
  • En ajustant le gain d’entrée de l’interface et le gain d’entrée du plugin NAM

Pour un modèle NAM, la valeur d’étalonnage correspond au niveau de sortie -en dBu- utilisée pour le ré-amping : 


La procédure d’étalonnage est décrite ici dans la documentation NAM : https://neural-amp-modeler.readthedocs.io/en/latest/tutorials/calibration.html : elle couvre la partie gain et la partie volume du modèle (cet aspect sera couvert dans un autre article de la série).

Vous trouverez la valeur d’étalonnage sur Tone3000 dans la description des modèles  : attention, ils ne sont pas toujours fournis par les créateurs de modèles :

Si la valeur n’est pas fournie, il n’est pas possible d’étalonner son système de manière certaine : il faudra ajuster les différents niveaux à l’oreille et au feeling….

Depuis la version 0.10.0, le système permet de spécifier la valeur d’étalonnage dans les metadonnées du modèle : https://www.neuralampmodeler.com/post/trainer-version-0-10-0-is-released. Les modèles NAM peuvent donc inclure l’étalonnage sous la forme :

« input_level_dbu »: 12.0

Les modèles Tone3000 incluant ces données d’étalonnage peuvent être recherchés par ce critère sur le site : 

De manière pratique, on va utiliser cette valeur avec le maximum input level de l’interface de cette façon : 

  1. positionnez le gain de votre interface à 0
  2. positionnez le gain d’entrée de votre plugin NAM à [ Maximum Input Value – input_level_dbu ] : par exemple, 12,2 – 15 = -2,8
  3. augmentez – si nécessaire- le gain d’entrée pour votre entrée instrument pour l’amener vers une plage optimale. Par exemple : imaginons que l’on ajoute 5 dB
  4. diminuer d’autant le gain du plugin NAM , dans notre exemple : -2,8 – 5  = -7,8
  5. testez : vous êtes au niveau de gain attendu par le modèle et le modèle sonne de manière identique au matériel original
  6. à partir de là, vous pouvez réaliser tous les ajustements que vous souhaitez, si vous en éprouvez le besoin : montez le gain, baissez le gain, interposez un boost, un drive, etc….

Cette dernière étape n’est pas toujours mentionnée dans les différentes videos et articles que l’on trouve sur le sujet : le modèle ne va peut être pas sonner comme vous le souhaiteriez -même étalonné à la perfection-, avec votre guitare et vos micros, dans votre contexte il a peut être trop de gain ou pas assez; il est peut être trop chargé en basses, etc… et cela peut aussi dépendre des associations que vous réaliserez : par exemple les IRs que vous choisissez d’associer à un modèle NAM d’ampli. Donc n’hésitez pas à tweaker ou à changer de modèle pour un autre avec plus de gain ou moins de gain…. : en suivant cette procédure à chaque fois, vous partez simplement d’un point de départ réaliste….

Etalonnage automatique

Depuis la version 0.7.12, le plugin NAM dispose d’un étalonnage automatique prenant en charge l’étape 2. Pour le faire fonctionner, il est nécessaire que les métadonnées d’étalonnage soient inclues dans le modèle et il vous faut saisir le maximum input gain de votre interface :

Etalonnage auto avec la valeur 12.2

Note : sur Mac dans ma configuration, il est impossible de saisir directement la valeur dans l’interface du plugin (bug). Pour s’en sortir tapez « 12.2 dBu » dans un éditeur de texte et copiez ce texte dans le presse papier, puis dans l’interface du plugin : clic-droit sur le champ de saisie, puis « paste » dans le menu.

Coté gain : on reste dans ce cas à zéro (avant de compenser l’ajustement éventuel que vous ferez sur votre entrée).


Dans le cas de l’ajustement automatique, votre gain reste à 0 pour le step 2


Des exemples audio et un pack de modèles

Il n’est pas forcément évident de comprendre et de tester cette approche lorsqu’on ne dispose que d’une seule carte son et qu’on ne dispose pas du matériel capturé : j’ai donc eu l’idée de vous proposer un pack de modèles NAM qui comprend 3 modèles du même ampli, capturés avec les mêmes réglages de gain et de tonalité mais en faisant varier les niveaux de ré-amping. Les niveaux précis de ré-amping sont inclus dans les métadonnées des modèles et sont listés un peu plus bas : vous pourrez lez tester avec une procédure de gain staging entièrement manuelle ou en activant l’option « input calibration » si vous utilisez le plugin NAM en version supérieure ou égale à 0.7.12.

Les différents modèles sont tous basés sur le canal Lead d’un MT 15, gain à 3, basses : 6, medium 4, treble 5, presence 6. Il s’agit d’un modèle « amp head », donc vous aurez besoin d’associer une IR en aval. Dans les playlists ci-dessous, le cab utilisé est un cab Two-Notes chargé dans Genome (un Engl 412), positionné après le plugin NAM qui est utilisé pour charger les modèles. Originalement, le pack devait comprendre 4 modèles mais j’ai exclus le modèle 18 dBu dans le cadre de l’illustration de cet article (explications un peu plus bas). Le modèle 18 dBu est toutefois inclus dans les exemples audio.

Les niveaux de réamping sont les suivants : 

  • 5,74 dBu (qu’on appellera « 6 » dans les paragraphes suivants)
  • 11,76 dBu (qu’on appellera « 12 »)
  • 15 dBu 
  • 18 dBu

La guitare utilisée dans les exemples est munie d’un micro bridge Seymour Duncan SH-4. Dans les exemples audio fournis, j’ai utilisé l’étalonnage mais conservé un niveau d’input gain à zero (mauvaise pratique, donc) car cela m’a facilité le contrôle et la description des valeurs d’étalonnage utilisées. Tous les exemples de ces playlists ont été normalisés à -10 dBFS, à écouter de préférence à travers des moniteurs ou au casque.

Dans la playlist « Raw Clips » , on ne fait pas d’étalonnage : on prend le DI enregistrés à gain 0 sur une interface 12,2 dBu (Apollo Twin X) et on l’envoie dans le plugin NAM sans toucher au gain du plugin, avec niveau de sortie réglé à « normalized » : 

  • 01 – NAM MarkT-15 5,74 : modèle NAM « 6 »
  • 02 – NAM MarkT-15 11,76 : modèle NAM « 12 » 
  • 03 – MarkT-15 reamp : reamp du DI sur le véritable ampli à 11,76 dBu à partir de la TwinX
  • 04 – NAM MarkT-15 15 : modèle NAM 15
  • 05 – NAM MarkT-15 18 : modèle NAM 18

Prêtez particulièrement attention aux extinctions de notes : [+7s – +13s] et [+43s – fin de l’extrait] et à la section [+14s – +43s] pour apprécier le niveau de gain obtenu. On entend assez facilement l’augmentation du niveau de gain entre les différents extraits. L’extrait « 03 – MarkT-15 reamp » correspond au DI réampé dans les conditions de capture du modèle, même loadbox et réglages identiques : c’est donc la référence et le vrai niveau de gain obtenu sur l’ampli et vous constaterez que l’extrait le plus proche est le modèle « 12 » : le gain est ici proche car le modèle est étalonné « naturellement » : le DI est enregistré sur une interface +12,2 dBu et le modèle est capturé à 11,76 dBu : on est donc très proche. Le 6 sonne donc avec moins de gain (à 0 dBFS le modèle est calé sur 6 dBU), le 15 avec un peu plus de gain que le matériel réel (à 0 dBFS le modèle est calé sur 15 dBU), et le 18 donne encore plus de gain….

Dans la seconde playlist (« Using NAM Part3 – Calibrated clips »), on étalonne manuellement le plugin

  • 01 : le plugin est étalonné à 12,2 – 5,74 : + 6, 46 (+6,4)
  • 02 : le plugin est étalonné à 12,2 – 11,76 : +0,44 (+0,4)
  • 03 : DI ré-ampé sur le véritable ampli à 11,76 , pour comparaison au sein de cette playlist
  • 04 : le plugin est étalonné à 12,2 – 15 : -2,8
  • 05 : le plugin est étalonné à 12,2 – 18 : -5,8

Ce qui correspond pour le sample 01 à configurer le plugin NAM de cette façon :

Si vous écoutez cette playlist « Calibrated clips», vous constaterez que les modèles sonnent maintenant de manière quasi-identique : il subsiste quelques différences, notamment sur le modèle 18, sur lequel vous pourrez constater qu’on a globalement plus de gain, ce que l’on peut aussi entendre lors des extinctions de notes, les niveaux restant plus élevés qu’avec les autres samples… Ces différences peuvent être attribuées au fait que l’ampli ne réagit pas linéairement aux différents niveaux de signal qu’on lui envoie (compression plus importante) lors du ré-amping du fichier input et que ce paramètre (ie le niveau de réamping utilisé) n’est pas neutre dans les captures que l’on pourra créer. On reviendra sur cet aspect dans un prochain article de la série. Les autres modèles donnent des résultats assez consistants et cohérents : vous les trouverez en téléchargement un peu plus bas pour pouvoir réaliser vos propres tests.

Enfin, la troisième playlist « Nam VS Amp » propose trois extraits, basés cette fois-ci sur des prises différentes, toutes les pistes sont normalisées à -10 dBFS :

  • La piste gauche est le modèle 12 étalonné sur tous les samples, alimenté par le DI de l’exemple, les pistes de droite utilisent le véritable ampli et la même loadbox utilisée que lors de la capture des modèles.
  • Sample 01 : le DI des exemples précédents est ré-ampé sur le véritable ampli (piste droite)
  • Sample 02 : autre prise avec un split Lele, sur Apollo TwinX, gain à 0 : à gauche modèle 12 étalonné, a droite signal envoyé à l’ampli et capturé par load box
  • Sample 03 : autre prise avec un split Lehle, sur SSL2+ MKII, gain à 0 : à gauche modèle 12 étalonné, a droite signal envoyé à l’ampli et capturé par load box

Le même micro SH4 est utilisé sur les trois exemples, mais les trois exemples ne sont pas joués à la même intensité : l’idée ici est d’observer le résultat canal gauche (modèle NAM) versus le résultat canal droit (l’ampli)….

Le pack des trois modèles MarkT correspondant aux modèles 06/12/15 utilisés dans ces exemples est accessible ici : https://overdriven.fr/overdriven/index.php/download/nam-models-using-nam-part-3/. N’hésitez pas a faire part de votre expérience en postant des commentaires en bas de cet article.

Conclusion

En suivant les étapes de gain staging, on peut mettre en oeuvre les modèles NAM en utilisant la plage de gain appropriée pour un modèle donné et cela donne un point de départ réaliste pour pouvoir ensuite ajuster son son selon ses propres envies et besoins. En suivant ces étapes, on est assuré d’arriver dans la bonne plage d’utilisation du modèle (ce qui vous donnera un résultat qui vous satisfera….ou non 🙂 ) … Et on observe au passage que le niveau de ré-amping utilisé pour la création des modèles n’est pas totalement neutre : la création de modèles et les niveaux de ré-amping seront adressés dans un futur article de la série.

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  • Création : 17 Aout 2025